Hayame & Nohea [ End. ]

**I `m** « **Invité** » & Invité

I D E N T I T Y ▪ C A R D

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N o m ::
Nohea.
P r é n o m ::
Hayame
S u r n o m :: ( OPTIONNEL )
Haya' - Nohe'
Â g e ::
25 ans.
R a n g :: ( Alchimiste d'état, Homonculus, Civil.... )
Chimère : a fusionnée avec un serpent.
R ô l e :: ( OPTIONNEL . Décrivez quels pourraient être ses ambitions dans le RP, etc. )
S'amuser et semer un peu le trouble.
G r a d e :: ( Seulement pour les militaires et les Alchimistes d'état. Précisez votre grade dans l'armée, lieutenant, sous-lieutenant, colonel... )
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P h y s i q u e ::

Hayame... Comment est-elle vraiment ? Allez savoir... Ses cheveux sont d'un étranges violets et qui attirent l'attention, qu'elle n'attache que très rarement. Ils sont très disciplinés et sont raides, longs et fins. Ils ont un très beau reflet irisé qui montre le soin que leur porte leur propriétaire qui est à elle toute seule deux personnes... Mais cela, c'est pour plus tard. Ses yeux sont verts, assez jolis, qui montrent un tempérament bien trempé et comme une deuxième conscience qui semblerait l'habiter. Hayame est à elle toute seule le joyau du mystère, croyez-moi. Dans l'ensemble, notre jeune chimère est fine, à une poitrine de taille modeste ; pas très frappante et aux longs bras sur lesquels ont voit quelques muscles saillirent dangereusement si vous l'approchez de trop près. Son allure est assez... Serpentière. Ce mot n'existe pas, eh bien, il sera temps de le faire breveter, tiens ! Bande d'incultes, va. Serpentière veut dire, par chez moi, une allure presque proche de celle du serpent : dans sa façon de marcher, de faire ses gestes et même de parler... En parlant de voix, continuons dans ma lancé, pendant que j'y suis. Hayame a une voix douce et fluette, comme celle des petites filles et agréable à entendre. Sa dentition, quant à elle, est des plus bizarres : ses canines sont allongées et très pointues pour un humain normal et le reste de ses dents sont comme les crocs d'un animal : triangulaire et tranchant, sauf les dents du fonds, qui ont une constitution tout à fait normale, quand à elles. Les mains de la jeune femme sont fines, harmonieuses, et ses doigts sont longs, couronnés d'ongles longs qu'elle coupe de temps à autres et dont elle se sert d'armes si jamais on l'attaque. Mais bon... Elle ne se promène jamais sans flingues à sa ceinture et j'aime beaucou ça ! Son style vestimentaire est assez simple, tout de même, malgré ma présence en elle : elle s'habille simplement d'un T-shirt noir et d'un pantalon couleur écorce. Parfois ; on la voit sortir avec un long manteau noir. Ne vous inquiétez pas... Oh, non... Il vaut mieux pour vous de ne pas vous en faire. Et si jamais dans ses moments là, si jamais vous avez le malheur de remarquer qu'elle a des yeux rouges, foutez le camp le plus vite possible. Courez, comme si le diable était à vos basques... C'est que j'ai prit le dessus sur elle. Non, ce ne sera plus " Hayame ", mais " Nohea ". Oui, oui, vous ne rêvez pas. Pour savoir quand est-ce que je prend le dessus sur elle, c'est quand ses yeux sont d'un rouge presque semblable à celui des Ishbals et que ses gestes sont un peu plus brusques. Il y a aussi le langage qui risque de changer... Plus... Vulgaire, plus rebelle, plus violent, aussi... Mais aussi comme ceci. Bien que je sois une part de son esprit indépendante, je suis toujours Hayame, mais en étant Nohea. La voix, quant à elle, ne change pas. Non, non, elle reste très fluette, mais tintée d'une certaine sévérité et d'un certain sadisme. Oui, j'aime faire souffrit les autres. Je suis... Moi. Qui suis-je réellement ? Quel est mon vrai physique ? Eh bien... Imaginez du noir, puis deux yeux rouges apparaître dedans et ainsi qu'une bouche qui vous parlera. C'est comme ça que je me vois. Ensuite, comment m'apercevez-vous ? Qui suis-je pour vous ? Une simple entité, un simple esprit ? Oh, que non... Vous savez pertinemment que, pour vous ; je suis un vrai danger public. Vous n'avez pas tort, je ne vous le cache pas.

Mais... Ne nous arrêtons pas dans ma lancé, je vous prit. Notre très chère Hayame étant une chimère est également capable de prendre forme animale quand elle le souhaite, et donc, sous forme d'un serpent. Ses écailles seront alors vertes émeraudes. Pas de mue, me direz-vous ? Non, je trouve ça complètement inutile et le peu de fois qu'elle se transforme, elle non-plus n'en voit pas l'utilité. Comprenez-nous.

Nous sommes "moi".

C a r a c t è r e ::

Commençons par "je" ou par "elle" ? Je vous préviens, il y aura beaucoup à faire, alors autant vous mettre en garde tout de suite. Biiien... Commençons par elle, donc. Je viendrais après, ne vous inquiétez pas, mais... Plus tard. Hayame est une gentille fille : pas violente, ni trop méchante. Juste avec un bon caractère. Elle a cependant une langue bien pendue et un très bon répondant. Elle aime beaucoup lire, sortir des dictons, des proverbes ; des phrases sans trop d'utilité pour la plupart, mais qui ont une belle consonance. J'aime beaucoup ce côté-là qu'elle cache. Cependant, elle garde un instinct assez rebelle et violent en réserve et celui-là ressort toujours quand je prend possession d'elle et du coup, vous avez un double danger public sur les bras. Faut se méfier, vous savez... Hayame a des airs d'enfants sages, mais... Elle ne l'ait pas du tout. Oh que non, loin l'image de l'enfant obéissant et qui se pliera à vos quatre volontés. Elle aime la liberté presque autant que moi, elle aime vivre sa vie comme elle le ressent. Elle a eut une enfance difficile, vous savez, et ce qui a forgé son caractère. Et le fait que je lui file un coup de main de temps à autres n'arrangera pas votre situation si vous l'énervez. Sachez qu'Haya est du genre susceptible ; mais pas colérique et sa patience relève d'un exploit superbe. Elle froncera un sourcil si quelque chose que vous lui dite ne lui plait as et me laissera alors de temps en temps le champ libre pour ressortir. Elle est cependant du genre calme, simple ; cool... Et c'est pour ça qu'elle fume. Oui, elle se grille trois cigarettes par jour, peut-être plus. Une le matin, une après le repas de midi et une le soir. Mais s'il y a des combats entre ces trois périodes, il ne sera pas rare de la voir sortir son briquet et son paquet pour s'en allumer une. Vraiment... Ce n'et pas à ça que vous vous attendiez ? Je vous comprend.

Moi... Je suis du genre... Colérique, violente, pas très sympa, vulgaire, extrêmement suceptible, accablante, irrécupérable et... Un tireur d'élite. Oui, vous ne rêvez pas. La calme et simple Hayame peut alors complètement sombrer du côté Nohe et devenir un vrai tueur à gages. C'est l'avantage des doubles-personnalités : quand l'un est épuisé, l'autre prend le relaie et vous fout la pâté. En gros, c'est dangereux de s'en prendre à un schizophrène. Mais comme dit plus haut, Haya n'aime pas la violence et donc, ne cherche pas les embrouilles, comme certaines personnes et je n'ais pas trop d'occasion de sortir. Mais parfois, je lui demande pas son avis et je ne me gêne pas pour faire surface. Hein ? Je radote ? Ah, pardonnez-moi. Je suis aussi du genre fainéante, et j'aime pas les choses qui stagnent. J'ai HORREUR de ça. Tout comme j'ai horreur des nabots qui se croient plus grand que les autres ; alors qu'il ne me dépasse pas ! Ces mioches-là ; j'peux pas les voire en peinture. Je hais les alchimistes d'état ; mais pas Hayame ; et franchement, je n'hésiterais pas à les descendre si ça ne tenait qu'à moi. Je les hais pour la fusions que nous avons vécu ; je garde une profonde rancœur en eux, mais Haya, non. Et j'arrive pas à comprendre pourquoi. Disons carrément que ça me dépasse. Ensuite, je ne suis pas patiente du tout : horreur des choses qui vont lentement et quand y'a une prime au bout du fil, je n'aime pas l'attendre. L'ennuie, c'est pas pour moi, trouvez quelqu'un d'autre.

P a r t i c u l a r i t é ( s ) :: Schizophrène ! |o/ Oh yeah !

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Commençons par le commencement... Hayame est née dans un village au Nord d'Amestris, vivait paisiblement avec eux, dans les rudes températures des montagnes de Briggs. Le petit village était isolé entre deux sommets ; un grand, un autre de petite taille, mais le plus grand étant à l'est, le soleil n'aparaissait jamais pendant les matinées, et éclairait le patelin seulement à midi. Chose que les villageois n'aimaient guère. Ce n'était pas pratique, mais moi, avec mon air de " je m'en foutiste ", j'en ais avait rien à plomber. Complétement. Etant dans l'esprit de Haya, franchement, j'm'en tape... Bref, bref, bref, ne nous égarons pas, le voulez-vous ? Ils coulaient tous des jours paisibles, et moi, j'avais hâte qu'il se passe des choses interresasntes, la Guerre Ishbale m'ennuyant beaucoup rien qu'à l'entendre. Il est vrai que j'aime beaucoup tuer, mais faut pas déconner, non plus. Ishbal... Tant qu'on en parlait, nous ; Haya et moi ; on s'en foutait complétement. Qu'ils s'entretuent donc, ces crétins, nous, on a rien à voir dans l'histoire ! Cependant, ça faisait la une des journeaux, et ça me gavait. Tellement qu'un jour, j'ai foutu le feu à un journal, que j'ai ensuite balancé sur un tas de foin qui traînait là. Je peux vous dire que j'ai apprécié le superbe spectacle des flammes léchants tout sur leurs passages, voyant des brins embrasés danser pendant qu'un bruit que j'aimais se répendait dans l'air... Une odeur titillait les narines d'un peu tout le monde, mais moi, j'étais béate. Et c'est là qu'on découvrit que la jeune femme était scizophrène. Moi, ça ne m'arrangeais pas du tout. Et vous savez pourquoi ? Parce qu'on aime pas les " fous " dans ce monde. Quoi qu'il en soit, fallait faire avec. Bref ; Haya eut pas mal de problèmes, me laissant sortir , et tout celà dans ses dix premières années. Je m'amusais beaucoup, saviez-vous ? Vers ses treize ans, elle apprit à me maîtriser, à m'empêcher de sortir, à me confiner dans son esprit... Ca m'énervait. Alors, je me débattais. Mais... Elle est trop forte et à chaque fois, je dois admettre mon infériorité.

Seize ans. Nous avions seize ans quand l'armée arriva dans le village dans lequel on vivait des jours ennuyeux et monotones... Ils emmenèrent pas mal de gens avec eux, notamment des jeunes garçons et je crois qu'on était la seule fille dans tout leur bordel. Je crois, j'en suis pas sûr. Mais allons pas vérifier, hein ! Bref. Ils nous emmenèrent dans une grande ville, dont nous nous souvenons plus du nom, mais on savait que ça finissait par " City " , mais manque de pot, c'est pas la seule ville qui finit par " City " à Amestris. Putain, il est chiant, le gouvernement avec ses noms à dormir debout... East City, South City, North City, West City... T'sais c'que j'te dis, moi ?! On nous enferma dans une grande salle. On nous prit un à un... Et ça commença. Quand on arriva devant un gars, il y avait un cerle par terre.

- De l'alchimie ! fit alors Hayame en reculant.
* Hein ? * demandais-je. * Ils veulent nous faire quoi, ces tarés ? *
*J'en sais rien, mais ça sent pas bon pour nous...*
* Tu l'as dit... *
*A mon avis, c'est une expérience clandestine, Nohe.* me dit-elle télépathiquement.
* Pas si clandestine que ça... Regarde à ta droite, il y a un militaire qui les accompagne. *

Elle suivit mon indication et tourna légèrement la tête vers l'homme qui se tenait. Il avait en effet l'uniforme bleu. Il était grand, brun aux yeux marrons et quelque chose disait à Hayame que ce n'était pas vraiment quelqu'un de sympathique... La jeune fille le regarda intensément, pensive. Je la comprenait : qu'allait donc faire l'armée ? Etait-elle, au moins, seulement au courant que quelques uns de ses hauts-gradés participaient à des expériences bizarres ? Savait-elle que ce qu'elle faisait pouvait anéantir des vies ? L'homme se montra alors impatient et prit Haya comme " cobaye ". Il la plaça au centre du cercle, lui ordonnant de ne pas bouger. J'étais complétement révolté : pour qui il se prenait, cet abruti, pour nous malmener ainsi ? Cependant, la jeune femme n'en fit rien et ne bougea pas. Tous les regards étaient portés sur elle. Le... truc s'enclencha et une ifinie lumière nous envahit toute les deux. Aveuglées ; nous ne pouvions plus rien faire. Nous tombâmes alors dans un someil comateux.

*
**
*

Nous regagnâmes la réalité avec une certaine violence. J'avais bien dormi, pour ma part. Mais qu'en était-il de Haya ? Elle se releva avec lenteur, chancelante, se rendit compte que son sens olfactif était plus... Sensible. De plus, ses gestes également avaient changés : ils n'étaient plus si... Désordonnés. Vous savez, les gestes que fait un humain normal sont en général toujours un peu maladroits... Non, là, les siens étaient plus vifs, plus précis, plus rapides, aussi. Surtout qu'un mal de crane nous sciait la tête. Bref, c'était pas simple à gérer, toute cette petite embrouille.

-Bravo, ça a l'air réussi, général...

C'était quoi, son problème, à lui ? Ôo Il nous cherchait, à tous les coups.

-Qu'est-ce que vous nous avez fait ? demanda alors Haya.
-Tais-toi, c'est pas toi qui pose les questions, pour l'instant, la rabroua-t-on.
*Raaah, mais je vais vraiment lui éclater la tronche, à lui !

Un silence s'en suivit. Merde, j'avais prit le dessus, du coup, j'avais hurlé cette petite phrase amusante. J'entendis l'autre soupirer quelque part dans notre esprit, exaspérée. Ouais, bah, si t'es pas contente, fallait pas me laisser sortir, hein. Viens pas te plaindre. Mais, j'ai rien demandé ; moi ! Ouais, bon, ta geule, tu me gaves, à toujours râler.

-Qu'est-ce que tu as dit, ma mignonne ?
-Qu'il ne fallait pas m'énerver, crétin de militaire...
-Mais c'est qu'elle a du répondant ! s'exclama l'homme, avec un sourire ironique. Félicitation, général, pour cette réussite.

Je me taisai. Il me gavait. Il me gonflait. J'allais lui faire sa fête, à lui. Je peux vous assurer qu'il passera un mauvais quart d'heure s'il continu comme ça. Je me redressais de toute ma hauteur pour lui faire face, une rage aux coins des lèvres. Je voulai la hurler, qu'il comprenne qu'on était pas des sujets d'expérience. Il n'avait donc aucune concidération pour la vie humaine, ou quoi ?

Avec fureur, je me précipitai contre les barreaux d'une cage. On nous avait enfermé, ce qui aggrava ma colère et la fit monter encore d'un cran. J'en avais marre. Assez. J'allai le buter. Oui... Le faire souffrir. Que du sang gicle dans la salle, qu'il crie, qu'il hurle sa souffrance au monde. Qu'il entende mon rire de joie sadique... Le monde devint alors plus grand pour moi. Je sinuait entre les bouts de métal qui étaient censé nous retenir. Avec une certaine rapidité, je fondais sur cet homme. Mais qu'il souffre, ça me fera le plus grand bien. Je vais me défouler... Sans écouter Hayame qui me hurlait de ne pas l'attaquer, je lui sautait dessus avec la fureur d'un lion. Je le mordai au cou. Un soubresaut le secoua. Il tomba à terre, moi avec, mais j'étais contente : mort, il était mort ! Il allait nous foutre la paix, comme ça, y'aurait pas d'autres problèmes. J'avais envie de tout massacrer. De tout faire voler, mais Haya me colla une trempe je ne sais comment. Bah, les baffes psycologiques, ça fait quand même mal, hein --'.

* Essaye la baffe physique, la prochaine fois. * lui dis-je.
* Je viserai plus haut, quand ça arrivera. * riposta-t-elle simplement, en courant.
* Ca fera moins mal. *
* Bah ; c'est bien quand même, les baffes psychiques, non ? *
* C'EST PAS IMPORTANT, COMME DETAIL !! * lui hurlai-je à la figure, en colère.

Notre petit dialogue pas comique s'arrêta là. Je me rendis compte qu'elle avait reprit forme " humaine " et courait à perdre haleine dans des corridors à l'éclairage tout de même capricieux pour notre temps... S'échapper. C'était la seule pensée qui nous obsédait. Une fenêtre entra dans notre champ de vision. Ouverte. Ah, les cons. Ils faisaient tout pour pas qu'on s'échappe, mais c'est eux qui nous donnait notre ticket de sortie. Purée, il sont doués, les gars. ._. Bon, l'avantage, c'est qu'on peut foutre le camp plus vite que prévu. Elle n'arrêtait pas de me répéter que s'échapper d'un laboratoire n'était pas aussi simple... Bah, fallait croire que si. Mais bon, on va pas chipoter sur le pourquoi du comment, tout ce qu'on voulait, c'était se barrer.

Nous sautions.

*T'vois qu'c'est simple, ma p'tite. *
* Ca... Je ne te le fais pas dire. Mais ça paraît quand même trop facile. *
* Estime-toi heureuse, on est sorti, c'est ce qui compte ; non ? *
* Oui, mais... *
* Tais-toi et cours. *

J'avais presque envie de lui faire la blague du " Cours Forest, cours ! ", mais franchement, c'était pas le moment.

On fait la suite dans un Rp ! :]

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P s e u d o . o u . p r é n o m ::
Shade.
Â g e ::: ( Facultatif )
Ah, je sais plus What a Face

C o m m e n t . a v e z - v o u s . t r o u v é . l e . f o r u m ? :::
Ed le sait déjà.
S o n . d e s i g n ? ::
Perfecto.
D e s . c h o s e s . à . a m é l i o r e r ? ::
Non.
R è g l e m e n t ::

Après mise à jour du 01/04/2011 du règlement, vous avez à partir de ce jour un délai de 20 jours pour faire votre présentation après inscription. Comme cela fait pas mal de temps que vous vous êtes inscrits sur le forum, je vous laisse 10 jours pour terminer votre présentation. Histoire de ne pas faire trop de comptes inactifs, ceux qui n'auront pas fini d'ici le 10 avril minuit, leurs comptes se verront supprimés.

Le FullMetal Admin.

**I `m** « **Invité** » & Invité

Il faut que je me hâte, dans ce cas...
Merci de m'avoir secouer les puces, nab... Fullmetal. :]

Petit rappel, il ne reste que trois jours pour terminer votre fiche, au quel cas cela pas fait, votre compte sera supprimé pour éviter trop de comptes inactifs.

**I `m** « **Invité** » & Invité

Fini.

C'est génial cocotte. J'aime beaucoup. Ça va donner ! xD
Je n'ai rien à dire d'autre, tu es validée la folle. :3

Bienvenue

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