Une légende, un seul but. Un but très précis : atteindre la Pierre Philosophale.
 
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 « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]

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MessageSujet: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeSam 9 Juil - 14:36

Le Chien rapporte la balle. Mais peut aussi mordre.

Les bruits des combats résonnaient encore dans mes oreilles. Je revoyais ces gens armés de leurs pistolets, me tirer dessus et moi ; tel un diable ; j’esquivai tout dans l’unique but de les éliminer de les empêcher de me blesser. Cependant, au moment où j’allais tuer le premier homme ; une drôle d’impression me prit et je fut incapable de lui porter le coup fatal qui l’aurait fait périr à coup sûr. Ma conscience meurtrière commençait à s’effriter, même si cette envie de meurtres persistait. Il pointa alors son arme sur moi et tira aussi impitoyablement que je l’aurai fait si c’était moi qui aurai voulu le tuer. Il me regarda m’effondrer sur le sol avec le regard stoïque d’un soldat. Il donna un coup de pied dans mon arme afin de la faire glisser de ma main et mit la sienne à mon cou dans l’unique but de m’étrangler. Cependant, il remarqua que la vie était sur le point de quitter mon corps et, lentement, se redressa. Il me dit avec un air tout aussi stoïque :

« Tu as fait une grave erreur de les avoir tuer. Et tu vas mourir pour expier ta faute. »

Apparemment, il se foutait complètement de moi et c’est en m’abandonnant dans la rue qu’il repartit, tout aussi impassible en ordonnant à tout le monde de ne pas me toucher ; ni même de tenter de me soigner. La dernière chose que je vis avant de tomber dans une pseudo-mort, ce fut ce commandant de l‘armée disparaître dans sa voiture et cette-dernière démarrer pour m'abandonner à mon triste sort.

J‘ignore totalement qui m‘a sauvé, ce jour-là. Mais lorsque je me suis réveiller, je ne me rappelai rien de tout mon passé ; sauf du moment où je suis ‘‘mort’’. Mais je ne peux dire qu‘une chose. Ce jour-là, il n‘aurait pas dû tenter de m‘éliminer, car désormais, mon envie de meurtres est intarissable.

Quelle ironie.

C’est quand j’allai redevenir celui d’avant, n’aimant pas la violence, qu’il m’a laissé agonisant sur le bitume. Maintenant, je ne désire qu’une chose ; faire le mal avant que l’on m’en fasse. Et ce ; jusqu’à ma véritable mort.


Je me réveillai, non pas en sursaut, mais dans le calme parfait de la grenouille, totalement désorienté. Je me levai calmement pour observer les environs de mes yeux noirs d’ébène, car me réveiller avec vigueur ; paraît-il, est très mauvais pour la santé. Les souvenirs de la veille me revinrent en mémoire. J’étais allez dans un hôtel pour me reposer et, n’ayant plus un rond sur moi, j’avais mit au point l’attaque d’une petite banque histoire de me remplir les poches. La présence des militaires dans cette ville était très peu marquée et rares étaient ceux qui traînaient. Je me levai péniblement, un peu fatigué la bonne nuit de sommeil que je venais de faire et je m’habillai en quatre quatre deux comme on dit. Je passai devant le miroir juste pour voir la tête que j’avais avant d’attraper mes lunettes de soleil et de les poser sur mon nez. Je chopai au vol mon flingue ; l’accrochait à ma ceinture et me saisissais ensuite de mon long manteau noir. Aujourd’hui, chemise blanche, manteau noir et pantalon jais me caractérisaient, sans oublier ces lunettes de soleil noires qui cachait mon regard. Mon teint aujourd’hui était plutôt pâle. Sans doute à cause de ce mauvais rêve qui avait ravivé un souvenir douloureux et les cicatrices qui allaient avec. Avec lenteur, je descendais les escaliers de l’hôtel, rencontrant quelques personnes au passage et je sortit de la grande bâtisse en laissant les clés à l’accueil. L’air était lourd, mais l’ombre rajoutait une pointe de frais à l’air. Toujours sans me presser et les mains dans les poches, je me mettais en route vers une banque quand je remarquai un homme en uniforme bleu-marine. Et merde, pensai-je sans rien laisser trahir ma pensée, depuis quand ils ont investis la ville, ceux-là ? Je ne faisais pas le fier. Pas intérêt, d’ailleurs, et surtout pas devant un de ces justiciers du dimanche matin. Pas un pour rattraper l’autre, comme on dit. Mais avouons que parfois, l’efficacité fait partie de leur vocabulaire. Je passais devant lui sans lui jeter un coup d’œil, avant de remarquer qu’il tenait un papier dans la main, qu’il lisait avec une certaine vigueur. Il m’interpella.

« Vous, là, vous avez déjà vue les type qui correspond à ces portraits écris ? »

Je m’approchai de lui et de son foutu bout de papier et je les lisais en diagonale. Super, le premier ne parlait pas de moi ; mais le deuxième, oui. Le premier, c’était un Ishbal avec une cicatrice en croix ; nommé Scar. Le deuxième -moi, quoi-… Était un peu faussé, ce qui m’arrangeai. On me décrivait comme une homme sanguinaire (pas faux) et sans limites (idem), dont les délits sont tellement nombreux qu’on ne peut plus les compter (même si c’est pas tout à fait faux). Passons à la façon qu’on me décrivait : grand, cheveux brun et courts (loupé, ils sont mis-long, mais je suis grand), regard entre le bleu et le noir (non, j’ai pas acheté des lentilles ; si c’est ce que vous voulez savoir, mes yeux sont noirs tout court) et apparemment, j’aurai une tripoté de bonhommes louches à mes services, ainsi qu’un stock d’armes cachés dans Briggs. Sachez-le, aucune des deux informations citées plus haut sont vraies. Si j’avais un groupe à moi ; je me serai suicider depuis longtemps : je suis légèrement misanthrope. Et si y’avait des armes à moi à North, on les aurait déjà saisis, surtout avec le général Amstrong dans le coin. Donc, logiquement, jamais j’aurai fait un truc pareil.

« Non pour le premier, oui pour le deuxième. » di-je, stoïque.
« Où avez-vous vu le deuxième, monsieur ? » demanda-t-il calmement.
« A Central-City. Il trifouillait dans une banque. Il devrait encore y être. »

Ah, non, mais ; quel crétin, celui-là. Il me croyait, en plus ? Répondez-moi sincèrement : est-ce que j’ai l’air d’un type réglo, habillé tout en noir ?

« Merci beaucoup de votre témoignage. »

Mais de rien, mon chou. Ce fut un réel plaisir de te berner pour assurer ma couverture. Je repartais tranquillement sans en rajouter, me riant intérieurement de sa naïveté. Il me regarda partir puis interrogea un civil qui passait dans l’autre sens. La journée sera longue, pour ce monsieur. Pour moi, elle annonçait d’être croustillante en escapades. D’un côté, j’allai pas m’ennuyer. Mais de l’autre, la présence des militaires dans la ville à ma recherche allait me compliquer la vie.

†††

J’errai sans but dans les rues, à la recherche d’une occupation. La banque étant encore dans une position inconnue, j’avais pas vraiment envie de la chercher. Roh, et puis, hein ; si on veut pas me faire rentrer, eh bah ; je sors mon arme et puis pan. Non mais, oh. Et puis, je peut éventuellement faire un otage en demandant une rançon ; autre moyen de se faire un peu d’argent. Au détour d’une rue, je put voir une de mes victimes, accompagnée d’un homme un peu plus petit que moi. Je sortis délicatement mon arme, avec précision, la cachant et je continuai de marcher comme si de rien était. Comme si j’allais pas prendre la gosse en otage, quoi. Du genre, le type qui marche tranquille ; l’ai innocent. Je remarquai ensuite que celui qui l’accompagnait semblait êtres un garde du corps. Le liquider serait une bonne idée, à moins de le faire plier en menaçant la gamine. La deuxième option ne me déplaisait pas. Arrivé à hauteur de la petite, je sortais mon flingue et le pointait sur sa tempe en disant :

« Pas bougé, si tu ne veux pas que je te fasse exploser la cervelle. »

Je rajoutai en direction du garde du corps :

« Même chose pour toi, mon coco. Tu bouges, elle se fait plomber, d‘accord ? J’ai bien l’intention de la prendre en otage, et toi avec, pour demander une rançon à ces fichus soldats qui entravent mes agissements. Alors, sois gentil, mon mignon, tu veux bien ? »

Mais pourquoi je leur racontai ma vie, moi ? Doucement, je les conduisaient dans une rue déserte et j’attachai l’homme avec une corde trouvée par là. La gamine n’avait pas hurlée ou quoi que ce soit, bien au contraire, et était restée stoïque. Alors que l’autre semblait bouillir de rage.

« Dis-moi, elle serait pas de l’aristocratie, cette petite ? » demandai-je en direction du garde du corps. « Parce que si c’est le cas, je vais m’amuser à faire monter le prix de la rançon. »

L’homme ne répondit rien et, énervé de ne pas avoir une réponse, je lui mettais mon flingue sur le torse, en m’agenouillant devant lui ; un sourire carnassier aux lèvres.

« T’es pas dans l’genre suicidaire, toi ? Parce que si tu réponds pas, elle y passe. C’est aussi simple que ça. »
« Oui ; elle est de l’aristocratie. » répondit-il simplement.

J’ôtai mon arme de lui pour le placer sous le menton de la gamine, qui n’avait toujours pas bougée, ni parler. Bon, bah, dans ce cas, pas besoin de la surveiller ; elle ne pourrait pas s’enfuir. Par contre, c’était l’autre grand gars qu’il fallait que je tienne à l’œil car il semblait s’agiter sous ses nœuds. Je lui jetai un sourire sarcastique.

« Vous êtes un criminel, n’est-ce pas ? Pourrai-je vous demander votre nom ? » demanda la gamine d’une petite voix, pourtant sans peur.
« Hm ? Je t’ai kidnappé et toi, tu n’as pas peur ? Quel courage admirable. »

Je remarquai que ses yeux étaient fermés et ce, depuis le début de la prise d’otage.

« Ah, tu es aveugle. »

Elle sourit.

« Moi, c’est Treize, ma chérie. Et toi ? »
« Ma… Ma chérie ?! » tiqua l'attaché, un peu plus loin et beaucoup plus sceptique.
« Ah, tais-toi. Si elle veut savoir mon nom, elle a bien le droit. Au mois, c’est pas une poule mouillée comme toi, s’pèce de crétin. »
« Ordure, si vous lui faites du mal je vous… » me menaça-t-il.
« Tu quoi ? Ca sera un peu difficile, vu les nœuds de tes liens. Alors, si j’étais toi, je la mettrai en veilleuse. » cassai-je d’une voix sèche et énervée. « Maintenant ; bouclez-là.

Il se rengorgea.

J’entendis des pas au loin et, d’une vif mouvement, je fis volte-face ; pointant mon arme devant moi et vers les ou la personne qui arrivait.

« Si vous êtes ici pour me piquer mon otage, ça va mal aller pour vous, compris ? Et si vous êtes un militaire, je vous envoie visiter les Enfers. Ca devrait vous plaire, là-bas. » dis-je, toujours aussi stoïque.

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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeSam 9 Juil - 17:34

.~'Hahaha ! Un rien m'amuse...'~.

South City. S’il y a bien une ville que je n’aime pas c’est celle-là ! Pourquoi ? Tout simplement parce que c’est calme, que y’a jamais de problème et que y’a jamais personne à faire saigner... L’ennuie totale quoi. Quoique... En ce moment un individu remue un peu les rangs des militaires de la ville. Il n’ya pas de quoi s’affoler, il a juste braqué une banque, tout le monde peux faire ca !

Même moi !

D’ailleurs, ca serais pas lui qui sort tranquillement d’un hôtel, se dirigeant vers la banque qu’il a braquer la veille. Quel fou. En même temps, il ne craint rien, les militaires de South city sont tous aveugle. Il passe devant un garde en faction et fait comme si de rien était. Je vais le suivre tient. A l’origine ma mission est de retrouver San, partie on-ne-sais-ou mais suivre se bonhomme promet d’être distrayant... Ou pas.

Le Garde l’aborde. De ma cachette, pas vraiment cacher mais c’est déjà ca, je peux voir cet inconnu se penchée sur un bout de papier. Il répond positivement a la question de l’enquêteur qui est sans nul doute quelque chose comme : « Avez-vous vu cet individus ». Visiblement l’inconnu prend un malin plaisir à berner son interlocuteur. Il continue sa route sans se retourner et tourne a l’angle de la rue. Coller contre le mur, un petit rire m’échappe.

Je vais vraiment suivre cette personne en fait...

Il se tient en face de deux autres individus, un garçon et une petite fille. Son flingue,-il a un flingue ?!- est braquer sur eux. Il les a attaché et les emmène dans une ruelle sombre, un peu plus loin. Je les suis, assez content d’avoir dénicher un mec aussi cool. Ses deux otages, car se sont forcement des otages, se tienne devant lui, effrayer. Je rentre dans la ruelle et l’homme fait volte-face.

« Si vous êtes ici pour me piquer mon otage, ça va mal aller pour vous, compris ? Et si vous êtes un militaire, je vous envoie visiter les Enfers. Ca devrait vous plaire, là-bas. »

D’où il me parle comme ca celui-là ? Et puis franchement, ses otages, il en fait bien se qu’il veut...

« Hein ? C’est une manière de répondre aux gens ca ? Tes otages, je m’en tape, tu peux bien les tuer ce n’est pas grave pour moi. Je veux juste savoir qui tu es en fait... »

Il est toujours accroupit, son armes pointer sur mon front. Si il croit que sa me fait peur ! Je souris tout en changeant ma main en lame et le regarde sadiquement.

« Sa t’en bouche un coin ! Alors, tu ne veux pas répondre ? Je suis plutôt gentil pour l’instant... Mais je n’aime pas qu’on me résiste... Réponds-moi ! Qui tu es ? »

Il n’a rien fait et il m’énerve. C’est surement le fait qu’il reste stoïque Qui me met en boule. J’ai jamais sut me contrôler... Il ne fait toujours rien. Il reste la a observé tantôt mon front, tantôt mon bras qui ne se finit plus que par une lame effilée.

Je me déplace et cale mon dos contre le mur. Ma garde est toujours en place, te fait pas d’illusion mon coco.

« Ben alors, t’as perdue ta langue ? »
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeDim 10 Juil - 11:27

La vie est faite de petits plaisirs...

C'est fou comme la vie peut être une partie de plaisir. Mon petit plaisir du jour c'est de fausser compagnie à mes chères amis les autres homonculus. Je me suis toujours demandée pourquoi je devais rester avec ces imbéciles, on est bien mieux tout seul et puis cette petite escapade me permets de me défouler un peu, il doit bien y avoir quelque chose a faire ici, à South City. D’ailleurs je suis venue en ce lieu car personne ne viendra me chercher dans ce trou paumer. Bon il est temps de trouver quelque chose à faire parce que au bout d'un moment on s’ennuie à mourir ici. Je me rends conte que je ne suis pas logique, je vient au sud pour faire ce qui me plais et je me retrouve sûr un toit a me poser des questions. Je dois être aussi bête que les autres finalement... QUELLE IDIOTE! Je me traite moi même d'imbécile... ça doit être les effets secondaire de mon manque d’action. D'un bond je saute de mon perchoir et atterrie sur le sol dans un bruit sourd, non ce n'est pas mon poids mais on pourrait dire que je viens «d’aplatir» un homme. Si je veux pas me faire remarquer je ferais mieux d'être plus discrète et de moins faire la maline mais c'est plus fort que moi. Je me penche pour voir le visage de l'homme écraser. Je comprend pourquoi il y a eu un tel bruit, il est énorme. Son visage est face au sol et recouvert de sang. Je résiste à l'envi de lui demander: Est que ça fait mal?
Quand je le relève tant bien que mal, je remarque qu'il respire encore et comme je suis de bonne humeur, ce qui est très rare, je décide de l’emmener dans l'Hôtel juste a coté. Dés que j'entre dans le bâtiment, une femme aussi grosse que mon fardeau ce précipite vert moi en criant:
«-Au mon dieu! Chéri!»

Pendant que j’allonge le corps de son mari, la femme se précipite à l’accueil pour, je suppose, demander à ce qu'on appelle un médecin. Puis elle revient en courant le plus vite qu'elle peut avec la masse de gras qu'elle a, se met a genoux prêt du mec et me demande d'une voix pleurnicharde:

«- Que lui est-il arriver?
- Je ne sais pas. Je l'ai trouver dans la ruelle juste à coté, il était dans cet état. Comme il respirais encore je l'ai amener ici pour chercher de l'aide...
- Merci infiniment, sans vous il serait peut-être mort à l'heure qu'il est!"

Sans moi il ne serait pas dans cet état... Sûr cette pensée, je me retiens d'éclater de rire! Les humains croient tout ce qu'on leur raconte, ce sont des êtres stupides. Je salut la femme d'un signe de la tête et sors de la bâtisse elle grimpe sur le toit de celle-ci. Un petit quart d'heure plus tard, les ambulances sont là et charge le gros dans un des véhicules. Bon, que faire maintenant... bonne question. Je me suis a peine amuser avec les deux obèses. C'est alors qu'un homme avec un manteau noir sort de l'hôtel. Je ne sais pas pourquoi mais il m'intrigue... Je vais le suivre mais j'irai par les toits et je vais prendre mon temps.
Je m'approche du toit le plus proche, prends une profonde et m’élance dans un enchaînement de sauts. Cette ville est assez pratique pour ça, pas besoin de mettre le pied par terre. Je continue ma petit balade en hauteur quand ma cible prend une petite rue que malheureusement je ne peux pas atteindre en sautant, quoique... bon, qui ne tente rien n'a rien. Je recule sûr les loses d'une maison, prends beaucoup d’élan, commence à courir de plus en plus vite et bondit mais arriver sur l'autre bâtiment, mon pied dérape et je me retrouve les pieds dans le vide. A l'aide de mes bras je me hisse tant bien que mal. Je continue d'avancer pour tomber sur l'homme au manteau noir, une petite fille, un homme baraqué et... tien tien, une tête connue. Que fait cette idiot de Envy ici? C'est alors que j'entant ce crétin demander:

«...Réponds-moi ! Qui tu es?"

En voilà un bonne question mais l'autre ne répond pas. Envy parait baisser sa garde mais je sais que c'est faux, il est peut-être pas si bête que ça... mais il n'a aucune paciense car il ajoute:

«-Ben alors, t’as perdue ta langue ?»

Bon, j'ai assez attendue. Je sort ma flûte de son étui, la place sous ma bouche et commence à faire glisser mes doigts sur le tube en métal pour les prévenir de ma présence. Si Envy a comprit, l'inconnu n'a pas l'air de piger. Je décide alors de me montrer. Je saute du toit, en faisant attention, je n'ai pas envi d'écraser une autre personne aujourd'hui. Ma robe se gonfle avec l'air, ce qui ralentit un peu ma chute. Arriver au sol je viens me positionner à coté d'Envy, en face de l'inconnu. Je fais tomber dans mes main mes deux dague coincées dans mes manches. Je regarde mieux l'idiot à coté de moi et je remarque qu'il a un «bras-lame» puis je jette un regard vers notre adversaire qui tien un flingue. On a chaqu'un une arme, enfin moi j'en ai deux. Mais je ne veux pas me battre sans savoir le nom de mon ennemi... alors je lui repose la question mais plus calmement:

«- Bon tu peux nous dire ton nom? Je préfère me battre contre quelqu'un dont je sais le nom. Si ça peut t'aider moi c'est San, la joueuse de flûte et lui c'est Envy...

Sûr le moment je me fiche pas mal de savoir si Envy voulait lui dire son nom mais moi tout ce que je veux c'est commencer ce combat...
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeLun 11 Juil - 7:42

Tout les moutons sont pendus par les pattes.

On pouvait m’expliquer pourquoi un palmier me tombait dessus ? Surtout que ce gentil végétal-là possédait des pouvoirs étranges. De l’alchimie ? Et en plus, il se foutait de moi. Bah, va-s-y, mon coco, si tu veux transformer ta main en lame, te gêne surtout pas. Je sentais que si je lui cherchais des ennuis, ça allait très mal se passer pour moi et j’allais peut-être avoir besoin de mes gênes de chimère. Mon pistolet pointé sur son front, je réfléchissais à toute allure. Il m’avait demandé mon nom. Mon nom ? J’abaissai mon arme et ; calmement ; défiai son regard de dégénéré mental. Il s’était collé contre le mur, près de mes otages, dont la présence commençait à me gêner. De plus, je n’avais aucune raison de tirer sur ce palmier, malgré le fait qu’il me menaçait de sa main modifiée. Je savais que si je me frottais à lui, j’allais avoir de gros ennuis. Non seulement auprès des forces de l’ordre, mais aussi auprès de ses alliés. Et si je libérai mes deux prisonniers, ces-derniers allaient prendre la poudre d’escampette puis livrer un portrait un peu plus juste aux autorités. Et je resterai donc ruiné jusqu’à la fin de la journée. Cependant ; avec l’enfant aveugle ; il y avait, comme qui dirait, un petit problème. Si je libérai le garde du corps, rien ne garantissait qu’il ne m’attaque pas par la suite. Le « végétal » fut rejoint par quelqu’un. Un enfant, qui nous avait joué un très sympathique air de flûte avant de se montrer. Sa tête me disait quelque chose, je devais déjà l’avoir croiser un de ces jours dans la rue …Cheveux courts, lisses et noirs et des yeux aussi ténébreux que sa chevelure. Fine et petite … Dans les environs de la quinzaine d’années. Non, ça ne me disais rien. Vraiment rien. Comme sa tête, d’ailleurs. Elle me faisait légèrement peur. D’un côté, si on me regardait moi ; avec mon manteau noir et mes lunettes teintés, j’avais pas l’air normal non plus.

« Bon, tu peux nous dire ton nom ? Je préfère me battre contre quelqu’un dont je sais le nom. Si ça peut t’aider ; moi ; c’est San la Joueuse de Flûte et lui c’est Envy. »

Je remontais mon arme vers elle. Elle voulait donc se battre ? Mais, moi, je n’ avais pas envie … Je voulais ma rançon et mon fric, point. Et éviter les ennuis, sinon, les militaires allaient me tomber dessus. Le dénommé Envy semblait s’impatienter. La gamine, elle, avait sortit deux couteaux. Hey ! Depuis quand les enfants peuvent allez et venir dans la rue en ayant des armes blanches ? Bon. Les choses promettaient d’être croustillante si je réussissais à les attirer autre part que dans cette rue.

« Si vous lisiez les journaux ; peut-être que vous saurez comment je m’appelle. » cassai-je d’une vois sarcastique.

Finalement, me battre me ferait du bien. Histoire de me défouler. Je souriais avec mon air le plus malveillant possible avant de me transformer en un corbeau noir de jais. Je m’envolais dans le ciel et me posais sur le toit le plus proche puis redevenait humain. Mon long manteau noir fouetta le vent. Je repris mon arme en main et je tirai sur San et Envy. S’ils me cherchaient ; ils allaient me trouver. Alors que je les attendais ; une douleur au crâne me prit. Oh, putain, non ; j’allais pas avoir un flash back maintenant ; quand même ?

 « Tu es quelqu’un de foncièrement méchant. Ton but est de tuer tous ceux qui se mettront en travers ton chemin. Focalise-toi sur cette pulsion et ne cesse de combattre que lorsque tous tes ennemis seront morts. »
Je ne voyais pas complètement cet homme. Mais c’était un militaire.


Puis, doucement, la douleur s’atténua ; jusqu’à laisser place au calme plat dans mon esprit. Je les attendais encore ; ces chers gens. Pourvus qu’ils viennent maintenant et ici pour qu’on puisse en découdre, puisqu’ils n’attendaient que ça. Je jetai un petit coup d’œil par-dessus mon toit histoire de voir ce qu’ils faisaient. Je les apercevais.

« Bah alors, vous venez ? » demandai-je en feignant d’être déçu.

Avec une certaine rapidité, je me perchai sur une cheminée qui ne fumait pas ( encore heureux on est en été ! ) et je les attendais, mon arme à la main. J'avais besoin de me défouler, mais ... Répondre à leur provocation ... C'était d'un pathétique.

| Tout comme mon post, d'ailleurs. TwT |
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeLun 11 Juil - 8:20

.~'Vive le Sadisme !!! '~.

Un air de flûte, m’averti que San n’était pas loin. C’est ce qu’on appelle faire d’une pierre deux coups ! On va éliminer se mec, la et après je vais ramener San a Central et elle va se montré docile et sage hein !?

«- Bon tu peux nous dire ton nom? Je préfère me battre contre quelqu'un dont je sais le nom. Si ça peut t'aider moi c'est San, la joueuse de flûte et lui c'est Envy...

Que... Masi elle est inconsciente ou quoi ? Décidemment je déteste être en compagnie de Blanc-bec. Je lui lançai un regard lourd de reproche avant de refocaliser mon attention sur l’inconnu... Qui ne l’était pas tant que ca.

« Si vous lisiez les journaux ; peut-être que vous saurez comment je m’appelle. » cassait-il d’une vois sarcastique.

Il s’emblait étonner que San possède des armes blanches sur elles. A oui ! C’est vrai, elle avait l’apparence d’une gosse. Pas étonnant. Mais voyons voir... Les journaux... Il était donc plus ou moins connut... Je ne lisais jamais les journaux, c’est d’un ennuies ! J’avais envie de lui répondre méchamment lorsqu’il fit quelque chose qui nous prient au dépourvue tout les deux, San et moi.

Il avait pris l’apparence d’un Corbeau pour voleter jusqu’au toit et avait reprit forme humaine a son arrivé pour nous tiré dessus. Mais c’est moi qui pris la balle.

Entre les deux yeux.

Propulser en arrière, le sang gicla et mon bras reprit une forme convenable. Je restai quelque seconde coucher, les poings fermer, attendant que la douleur cesse et que la plaie cicatrisent. Je me relevai en mettant ma main à mon front, tout en pestant...

« M... Merde. Mais t’es qui toi au juste !? Une chimère !? Je ne connais pas ton nom, mais tu commence a m’énervé sévère ! »

J’étais indéniablement et irrésistiblement en colère. On ne me tire pas dessus sans conséquence ! Peut-être voulait-il juste nous faire peur genre : « je-suis-un-tireur-d’elite-n’approcher-pas » Et bien il se met le doigt dans l’œil et jusqu’au coude !

Je prit appuie sur le sol et me propulsa tant bien que mal sur la mur que je grimpa en sauta un coup a droite un coup a gauche, pour arriver devant cet homme, les traits tendue, non pas par l’effort, mais par le désirs, ou l’Envie, de faire couler son sang. J’ouvris la main et elle s’allongea jusqu'à mesuré prés de 2 mètres. Ce serais inexplicable pour le communs de mortelle, mais j’adorais utilisé cette capacité. Il eut un flottement. Il regardait mon bras avec un air dégouter. Celui-ci s’approcha de lui et il recula.

*recule pas trop tu vas tomber, se serait dommage...* pensait-je à l’ instant où il faisait un deuxième pas.

Le serpent qui me servait de membres antérieur s’enroula autour des jambes de mon adversaire, puis remonta à sa taille. Un sourire sadique se peigna sur mon visage.

« Alors, tu préfère finir comment ? Étouffé, Dévoré par se serpent ou découper en rondelle ? »

Mon autre bras, le gauche évidemment, avait reprit la forme d’un sabre et le serpent siffla.
San n’allait pas tarder à nous rejoindre et je savais qu’il ne se laisserait pas faire. J’attends de voir...


[mais non ,mais non... Si on regarde bien ,j'aie reprit les dialogues du tome 13 x)]
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeLun 11 Juil - 10:28

C'est dure d'être une gamine...

Le nouveau venu me regarde avec une de ces têtes, a mourir de rire. C'est vrai que l'on ne voit pas tout les jours un gamine avec deux dague dans les mains. On dirait que Envy a oublié ma capacité de lire un court moment dans les pensées et ce Palmier Androgyne m'a traité de Blanc-bec ! Je vais le poignarder jusqu'à la mort, le couper en petites rondelles... mais dans l’immédiat, j'ai besoin de lui si je veut battre le mec au mentaux noir. D’ailleurs ce dernier va s'en doute nom dire son petit nom, ou son sur nom:

« Si vous lisiez les journaux ; peut-être que vous saurez comment je m’appelle. » répondit-il.

C'est pas une raiponce ça! Il se moque de nous ma parole! J'ai de plus en plus envi de lui enfoncé un poignard dans le ventre. Alors que je commence a m'élancer vers lui, il prend la forme d'un corbeau, s'envole vers le toits, s'y pose et reprend une apparence humaine avant de nous tirer dessus! Il est fou, il tire sur une aussi jolie gamine! Quelle honte je vous jure! Mais ce n'est pas moi qui me prends les balles, c'est Envy, entre les yeux. Il ne va pas apprécier... J'ai déjà mal pour l'autre. Mais au lieux de lui foncé dessus directe, il lui demande :

« M... Merde. Mais t’es qui toi au juste !? Une chimère !? Je ne connais pas ton nom, mais tu commence a m’énervé sévère ! »

Sûr ce, le Palmier fonça vers le Corbeau, il monta sur le toit en quelque bond pour se retrouver en face de la chimère. J'ai décider de suivre le combat a distance, j'entre dans les pensées d'Envy et je le laisse faire tout le sale boulot. J'irais l'aider plus tard. Je me dirige vers le gorille et le petite fille. Elle est très calme et tranquille mais elle ferme les yeux, alors je lui demande d'une voix douce(que je n'utilise que très rarement):

«-Bonjour petite, Je m'appelle San, et toi?
- Je m'appelle Marie, dit-elle d'une voix timide.
- Et bien Marie, tu peux ouvrir les yeux, le méchant monsieur n'est plus là.
- Je ne peux pas mademoiselle, je suis aveugle.
- Ohh, dans ce cas reste là et fais attention, dis-je en souriant.

Je m'étonne moi même, depuis que je suis une homonculus je n'ai jamais parlé avec autant de douceur . Je la laisse pour aller enfin aider cet idiot d'Envy. Je suis tout de même épuisée par ma petite course sûr les toits mais ça devrait aller. Je prends une très grande inspiration et je m’élance, je coure le plus vite que possible, je prends en suite appui sur le mur et m'accroche tant bien que mal a une des brique, puis je me hisse sûr le toit de loses. Envy a l'air de bien s'amuser avec notre mystérieux kidnappeur. Ils sont au corps a corps, la chimère est entrain de se faire étouffée par le bras-serpent de mon camarade. Je m'approche tranquillement des deux adversaires. Je chuchote a l'oreille d'Envy:

« Tien le bien mais ne le tue pas, j'ai envi qu'il souffre...

Puis je me tourne vers le prisonnier, je lui enlève ses lunettes pour découvrir des yeux couleur jais, même les mien ne sont pas si profond. J'approche mon visage si prêt du sien que je sens sa respiration sur mon visage. Je lui dit doucement à l’oreille:

«- La souffrance que tu vas ressentir ce n'est rien comparée a la peur qu'a ressentie la petite aveugle. Tu es un lâche de t'en prendre à une personne aussi faible.»

Je pris mon poignard et lui enfonça dans la cuisse, les yeux pleins de haine. Pourquoi est-que je ressent de la pitié pour cette petite fille... Le sang de l’inconnue coule sûr ma fine main, je laisse mon poignard dans sa cuisse et le regarde droit dan les yeux, cherchant la moindre trace de peur dans ses prunelles noires...
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeDim 17 Juil - 17:16

Tout homme est coupable du Mal qu'il n'a pas fait.

« Ah, tu as remarqué ; toi aussi, que la gamine était aveugle ? Je me fous de savoir si je suis lâche, ma petite. Parce que vous attaquer à deux contre un est tout aussi pingre. Alors, t’es mal placée pour me dire ça, ma petite San. » déclarai-je en la regardant droit dans les yeux. « Tragique histoire ...»

Plus un ! Bon ; au moins, ça ; c’était fait.

« Et pour mon nom. Apprenez à ouvrir un journal. A moins que ce soit au-dessus de vos forces … » cassai-je -une nouvelle fois- sarcastique.

Mais … Avouons, sublime coup de la part de la gamine, mais qui allait me donner une porte de sortie, en quelque sorte. Quelle bonne idée de me fournir un objet pointu et coupant ; juste quand j’en avais le plus besoin. Cependant, la douleur était insoutenable. En voila une qui savait viser, contrairement à l’autre gringalet, là-bas. Je me démenais sans pour autant pouvoir me dégager de l’étreinte du « palmier » en question. La gamine avait un rictus sadique qui me donna la chair de poule pendant une très brève seconde. Je la regardai et lui rendais son sourire. D’un mouvement entravé par le bras-serpent de Envy, je happai le couteau et le plantais dans le bras rallongé. Plantai et coupai. Le bout tomba à terre, et je me dégageai. La blessure à la jambe m’envoya une de ces protestations gênantes, qui allaient me mettre en difficulté le temps du combat. Aussi, sublime idée de ne pas m’avoir enlevé mon arme des mains, car je tirai sans retenue sur la gamine ; qui reçue une balle dans la main. Le dernier couteau qu’elle tenait vola dans les airs et alla s’écraser un peu plus loin.

« Je vais vous dire une bonne chose. » commençai-je en les regardant droit dans les yeux, mon pistolet toujours pointé devant moi, sur San. « Je ne suis pas du genre à m’attarder sur les états d’âme de mes victimes. Pourquoi s’embarrasser de sentiments qui pourraient vous gêner ? »

Je tirai ensuite sur Envy, narguant San en même temps tout en agitant la lame ensanglantée qu’elle m’avait douloureusement fournie. Et ne comptez pas sur moi pour la lui la rendre. Je me contentai de regarder le poignard avec un air intéressé. Quelque chose me disait que si je tentai de le revendre, j’arriverai à me faire une petite somme, si je mens un peu sur ses propriétés … Le vent souffla une nouvelle fois et je me rendis compte que ma jambe saignait à flot. Dans pas très longtemps, j’allai avoir des vertiges si je n’abrégeai pas le combat, à ma grande déception.

Quelque chose me frappa de plein fouet : eux. Il était très étrange qu’après avoir tirer sur le dénommé Envy juste entre les deux yeux qu’il revienne vers moi en ne portant aucune trace de sa blessure précédemment infligée … De plus, il avait étendu son bras pour le transformer en un serpent et son autre membre en ‘‘épée’’. Il possédait donc un étrange pouvoir, celui de la métamorphose, entre autre. Et de régénération. J’en déduisais donc que s’il était capable de faire ça, sa coéquipière aussi, puisqu’ils avaient l’air de si bien se connaître. Mais, dans ce cas, pourrai-je les tuer ? Telle était la question. Maintenant que je me posais cette question ; je me rendais à quel point il était simple pour eux de me tuer : il suffit tout simplement que Envy me coupe la tête ou m’étouffe. Ou bien que San me plante son couteau dans la gorge ou me vide de mon sang, vue qu’elle aimait bien ça. La tâche promettait d’être assez compliquée. Je devrai donc prendre des précautions : si jamais devenaient trop compliquées, j’avais intérêt à prendre la poudre d’escampette pour ne pas me faire tuer. Je mettais la main sur ma blessure histoire de la pansée un peu avant de reprendre le combat quand l’envie d’éclaircir leur mystère me prit. J’abaissai mon arme, maintenant redevenu le XIII que tout le monde avait connu : froid, calme et calculateur.

« Avant de reprendre le combat, j’ai des questions à vous poser : qui êtes-vous vraiment ? C’est pas donné à tout le monde de pouvoir changer son bras en lame et de se régénérer. Encore quelques unes de ces expériences de laboratoires ratées, je me trompe ? »

L’histoire des frères Elric me revint en mémoire. Les deux frères, après avoir voulu ressuscité leur défunte mère avait payé le prix fort : l’un avait perdu son corps, l’autre ; sa jambe et son bras. Et la rumeur courait en disant que tout résultat de transmutation humaine deviendrait alors des êtres aux pouvoirs étranges. L’hypothèse était à ne pas écarter, tout comme l’autre, d’ailleurs.

« A moins que vous soyez des résultats de transmutations humaines ratées. » dis-je en ricanant méchamment. « Et là, on pourrait en effet vous qualifier de phénomènes de foire par excellence. »

Je suis le mal incarné en une personne, donc la pitié ne fait pas partie de moi, retenez-le.
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeDim 7 Aoû - 17:48

.~'Le Sang engendre le Sang'~.

Il y a des fois, j’aie vraiment envie de faire cracher ses pierres a cette gamines. Beau lancé de sa part, c’est vraie, mais elle aurait pu réfléchir. Elle a fournit un objet coupant a son adversaire. Terrible erreur. Surtout que je...

Argh !

Se que je craignais était arrivé. Il s’était servie de la lame de San pour couper net mon bras, celui qui le retenait. Projeter en arrière, je ne pus éviter la balle qu’il tira ensuite que de justesse avant d’atterrie, ou plutôt de m’écraser, au sol. Le bout de bras coupé commença a se désintégré pendant que le moignon qui me servais de membre repoussait.
Pourquoi tout le monde ne me prends pas au sérieux ? J’aie pourtant une tête de méchant... Enfin, je crois... Saleté d’humains ! Je les crèverais tous, si on en avait pas besoin pour le sacrifice !

Il recula avec difficulté, croisa le regard sadique de San, tout en lui rendant son sourire, avec un frisson. Elle ... Elle, elle fait peur alors qu’elle est plus jeunes, plus fines et qu’elle a été crée par Dante !

Grrr.

« Avant de reprendre le combat, j’ai des questions à vous poser : qui êtes-vous vraiment ? C’est pas donné à tout le monde de pouvoir changer son bras en lame et de se régénérer. Encore quelques unes de ces expériences de laboratoires ratées, je me trompe ? »

Pour qui il se prend, lui ? Je fis un pas, avant qu’il ne reprenne la parole.

« A moins que vous soyez des résultats de transmutations humaines ratées. » dis-il en ricanant méchamment. « Et là, on pourrait en effet vous qualifier de phénomènes de foire par excellence. »

Je vais faire de lui du pâté pour chien, s’il continue ses insinuations stupides. Je fis un autre pas.

J’étais a deux mètres de lui, en gardes, parfaitement calme en apparence alors que je bouillais a l’intérieur, je bouillais d’envie de lui faire manger son flingues et ses idées !

Un sourire mi figue mi raisin, entre l’ironie et le sadisme se peignit sur mon visage. Pendant que son regard froid et calculateur nous passait dessus, sans nous voir. Il est doué. Je lui répondis d’une voie mielleuse, un tantinet froide...

« Nan, nan, nan... T’es à coter de la plaque, mon pote. Tu sais qu’on peut se régénérer et par conséquent, ne pas mourir, et tu continue à nous insulter. T’es fou suicidaire ? Les deux, mon capitaine... »

Dans ma tete trois options s’affichèrent : Soit faire équipe avec San pour le finir, soit le finir tout seul, soit le laisser partir sans rien faire.

Seule la deuxième option prit place.

« Maintenant, si tu le veux bien, j’aimerais encore discuter avec toi, lorsque ton visage se peindra du rouge de ton sang et que la mort toquera à ta porte. J’espère être la... Non, je veux être la... »

J’écartais une mains, la transforma de nouveaux en lames et fit un pas, deux , trois...
Je sentais presque son souffle. J’avais envie de l’achever tout de suite, dans l’instant. Je voulais voir son sang couler du haut de cet immeuble, inonder la place.

Je vois déjà le rouge sanglant se refléter sur mes mains. Déjà du sang ? Ah, oui, la blessure causée par San. Je l’aie complètement oublié, elle. Que va-t-elle faire ? Petite Homonculus Ratée, ne possédant même pas de Pierre Philosophale... Si on peut être sadique par pensée, je le suis. Je sais qu’elle peut lire mes pensée, mais...

Bon, j’éventre XIII, et on en reparle !

[désoler, c'est cours T.T et il y a 599 mots, pourtant !]
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeLun 8 Aoû - 12:09

Je ne suis qu'un être sans âme...

J'avoue que des fois je suis une abrutie finie. Donner un objet coupant à mon adversaire c'était idiot de ma pare. D'un petit mouvement il coupa le bras de mon allié, si on peut appeler ça un allié. Libérer, l'inconnu prit son flingue et me tira dessus, mon deuxième couteau vola et atterrit un peu plus loin sur le toit. J'étais peut être désarmée mais pas inoffensive. Je me concentre, je cherche ses pensées mais j'ai beau essayer je ne captais que celles d'Envy. Pourquoi? C'est qui ce mec. Tout conte fais mes dagues me seraient utiles. L'homme aux yeux noirs en avais un, si j'arrivais à m'approcher discrètement, je pourrais la lui reprendre. Mais malheureusement le kidnappeur ne cesser de me tirer dessus donc je crois que c'est le moment de mettre une autre stratégie en place. mais avant que je ne puisse faire quoi que ce soit, il demanda:

« Avant de reprendre le combat, j’ai des questions à vous poser : qui êtes-vous vraiment ? C’est pas donné à tout le monde de pouvoir changer son bras en lame et de se régénérer. Encore quelques unes de ces expériences de laboratoires ratées, je me trompe ? »

Il a tout faut, je ne suis en aucun cas un cobaye servant a des expériences foireuses. Par contre, on pourrait se posé la question pour Envy... puis l'homme repris:

« A moins que vous soyez des résultats de transmutations humaines ratées. » dis-il en riant. « Et là, on pourrait en effet vous qualifier de phénomènes de foire par excellence. »

Quoi? Comment sait-il ça? Ce n'est pas normal, il n'est même pas alchimiste! Je me sens faible tout d'un coup. Pourquoi? Je ne le sais pas moi-même. Peut-être parce que lui il peux se croire humain, même si c'est une chimère. Moi je suis un être sans âme et sans sentiments mon cœur n'est remplit que de haine et de sadisme. Même les homonculus créés par "père" sont plus parfais que moi. La voie de Envy me tira de ma rêverie:

« Nan, nan, nan... T’es à coter de la plaque, mon pote. Tu sais qu’on peut se régénérer et par conséquent, ne pas mourir, et tu continue à nous insulter. T’es fou suicidaire ? Les deux, mon capitaine... »

Il se croit drôle l'autre idiot mais cette blague ne fais rigoler personne. L'homonculus du désir reprit avec une voix niaise:

« Maintenant, si tu le veux bien, j’aimerais encore discuter avec toi, lorsque ton visage se peindra du rouge de ton sang et que la mort toquera à ta porte. J’espère être la... Non, je veux être la... »

Il changea son bras en lame et s’avança vers l'homme, une expression sadique sûr le visage, je n’avais pas à lire dans ses pensées pour savoir ce qu'il avais en tête ou ce qu'il pensait de moi. Pour tout les autres, nous les homonculus de Dante, nous sommes des êtres ratés, faibles, inutiles, ne possédant que des pierres rouges imparfaites. Mais il a tord et je vais lui montrer maintenant...

Je fonce chercher ma dague à l'autre bout du toit, puis dans un dérapage contrôler je fonce vers notre ennemie. Le bruit de mes pas sûr les lauses avertissent les deux combattants mais d'un bond je me retrouve au dessus de l'inconnu, je prends appuis sûr son épaule pour essayer de le mettre à terre mais je suis trop légère pour le faire tomber. Du coup je me retrouve dos lui, presque coller à lui. Je tourne mon couteau pour le planter dans la côte de mon adversaire mais quand je ramène ma lame devant moi, il n'y a presque pas de sang. Je perds la main moi. Je m'écarte vite fais pour me retrouver a nouveau à coté de Envy, j'en profite pur lui murmurer:

« On doit travailler en équipe même si ça ne m'enchante pas vraiment. Si tu as du bon sens, tu seras d’accord avec moi. Je l'attaque par le sol et toi de front. »

Sans vraiment attendre sa réponse, je glisse au sol pour mettre à genoux l'homme vêtu de noir mais il est rapide car même avec une jambe en sang il évite mon coup et pas de bol, juste derrière lui, c'est le bord de la toiture. Mon élan m'entraîne, j'ai à peine le temps d'attraper une brique que mes jambes valsent dans le vide. J'avoue que ça me perturbe de dire ça mais je conte sûr Envy pour gagné et accessoirement, pour venir m'aider...
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeLun 8 Aoû - 13:34

Le Hasard n'existe pas. Tout n'est qu'une question de choix.

Hein ? Je vis son bras se reconstituer devant moi. Mais, c’étaient qui, ces types, nom d’un chien ? En tout cas, si je voulais éviter un maximum d’ennuies ; il fallait que j’opte pour les laminer. Sinon, j’étais mal barré. Bah oui, mine de rien, je tiens à la vie. L’autre espèce de palmier me répondit quelque chose qui ne plut pas vraiment. Lui, peut-être. Peut-être pas la gosse, qui sait. Surtout que cette-dernière était restée silencieuse et immobile. J’en déduisais donc que ça ne lui avait pas bien plu non plus que je sorte ça. Bref, quoi qu’il en soit ; Envy avait visiblement l’intention de m’étriper. Mais ce n’est sûrement pas en causant comme il le faisait qu’il allait y arriver. La première à passer à l’action fut San, qui tenta de me faire tomber en me sautant sur l’épaule. Loupé. Trop légère, elle ne pouvait pas. Elle tomba dans mon dos, sur le sol et m’enfonça son couteau restant dans les côtes. Bah non, ma cocotte ; ton couteau, il est dans mes mains et je le garde !

Une douleur au crâne me prend alors. Aïe. Ca n’allait pas recommencer, quand même. Je me prenait la tête entre mes mains ; tentant en vain d’atténuer la douleur. Mes yeux changèrent subitement de couleur ; passant du noir au blanc. Mes pupilles devinrent alors d’un noir encore plus profond qu’elles ne l’étaient déjà.

Tues-les ! disait une voix dans ma tête. Oui, je vais pas me gêner. Je redressais la tête et vit San me foncer dessus ; dans la ferme intention de me faire je sais pas trop quoi. Je l’esquivai très simplement et lui envoyai un méchant coup de pied dans le dos, histoire qu’elle tombe bien du toit et qu’elle ne revienne pas de sitôt. Je me tournai vers Envy et dit ; en plongeant mes yeux dans les siens :

« Bah alors, tu viens ? »

Je ricanais. Apparemment, il ne sentais pas vraiment de bouger, avec sa lame-bras, le palmier misanthrope. Je lui fonçais dessus et arrivé devant lui ; lui envoyai mon pied dans la tronche. J’allais pas me gêner de faire autre chose, d’ailleurs. Je prit le couteau de San et le lui le plantait dans le bras, avant de le retirer avec un air de psychopathe finit. Je lui envoyais un dernier coup de pied dans le ventre pour l’envoyer rouler au tapis un peu plus loin. La type qui se prenait pour un gars invincible allait bien être déçu. T’as beau te régénérer, mon grand ; contre une chimère qui ne vit que pour tuer, tu veux rien. Je prenais mon flingue, me tournait vers San et lui tirait dessus. Alors.

« Bye bye, ma jolie ! » fis-je en lui tirant impitoyablement dans la tête.

Mes coups de feu ne passèrent pas inaperçus au yeux de la population. On commençait à s’agter, en bas de l’immeuble ; tellement que quelques militaires avaient ramenés leur petite tête pour voir ce qu’il se passait. Je me sentais terriblement en pleine forme, si bien que j’aurais put tous les tuer, mais j’en avais déjà assez des deux. Ils commençaient à me lasser, ces joyeux phénomènes de foire. Tous pas plus dégourdi que l’autre pour rattraper ce qu’il avait loupé. Nul, quoi. En fait ; le fait de faire ça était une façon de provoquer, de les pousser à agir. On allait bien voir si les militaires allaient investir le toit. A qu’est-ce que j’aime quand y’en a beaucoup à tuer. Faites qu’ils arrivent vite fait que je les tue illico presto. Ca va être marrant. Surtout s’ils me reconnaissaient, moi, le grand XIII ; réputé pour être un grand tueur qui ne faisait que ce qui lui plaisait. Oh oh, venez, mes petits agneaux …

« Ouais, j’ai beau être à côté de la plaque, mon vieux ; toi, t’es carrément pas en face. » narguais-je Envy pour bien l’énerver. « J’en suis plus à me demander si tu sais vraiment te battre … Envy. Parce que ta copine, là-bas, elle semble être un peu plus apte à combattre que toi. Oui … C’est même certain, il y a une très grosse différence de niveau. C’est bien la première fois que je reconnais la valeur à un adversaire qui est beaucoup plus jeune que moi, vois-tu. Toi, ce n’est même pas la peine d’en parler … » Je soupirais pour prendre une petite pause, un sourire vicieux aux lèvres. « Parce que toi, tu causes plus que tu n’agis, et pas elle. »
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MessageSujet: Re: « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ]   « Tiens, tiens, tiens … » [ PV : San & Envy ] Icon_minitimeMer 10 Aoû - 12:54

Suffocation : Hallucinations

San l’avait attaqué de front. Elle avait tenté de le faire tomber en prenant appuie sur une de ses épaules. Mais elle était trop légère. Elle bascula derrière son adversaire et lui enfonça sa lame restante dans les côtes. Sans grands succès.

Je ne suis pas fan des armes blanches mais pour tout dire, et même si elle a mal calculé son coups cette fois, cette gamine se débrouille pas mal. Je me contentais de regarder, essayant de savoir lequel avait le dessus sur l’autre. Manifestement Treize prit rapidement l’avantage, même avec une jambe blessée. Soudain, celui-ci se prit la tête entre les mains, comme en proie à une douleur interne. Intéressant. Lorsqu’il releva le regard le changement de couleur de ses yeux me frappa. Ce n’est pas possible ça ! Ces prunelles étaient passées du noir au blanc. Pour finir avec un noir d’encre profond et insondable.

C’est à ce moment-là que San se décida à attaquer de nouveau, de fronts. Mais son adversaire l’esquiva d’une façon tellement simple que s’en était outrageant. Un coup de pied dans le dos et elle bascula du toit.

Il se tourna alors vers moi. J’attendais qu’il dise quelque chose. Je n’aime pas spécialement me battre mais ce mec a l’air sacrement balèze.

« Bah alors, tu viens ? »

Il ricanait. Je ne voie pas ce qu’il y a de drôle. Son rire me convint définitivement qu’il était malade. Peut-être même schizophrène, qui sait.

Il se retourna et tira sur San, en pleine tête. Je fis un pas. Si elle était tuée alors que j’étais censé la ramener a Père, j’étais foutu. Il fallait que je trouve un moyen de tenir ce fou à l’ écart le temps que je lui dise ou aller.

Des bruits de foule venant d’en bas se firent vite entendre. Il ne manquait plus que ça ! J’avais prévue de me transformer mais avec la populace en bas et les petites mesurent du toit, c’est peine perdue.

Il se tourna de nouveau vers moi. On dirait que ça lui plaisait qu’il y ait beaucoup de monde. Ca fait plus de témoins donc plus de personnes a tuer. On a au moins un point commun.

« Ouais, j’ai beau être à côté de la plaque, mon vieux ; toi, t’es carrément pas en face. » essayais-t-il de m’énerver. « J’en suis plus à me demander si tu sais vraiment te battre … Envy. Parce que ta copine, là-bas, elle semble être un peu plus apte à combattre que toi. Oui … C’est même certain, il y a une très grosse différence de niveau. C’est bien la première fois que je reconnais la valeur à un adversaire qui est beaucoup plus jeune que moi, vois-tu. Toi, ce n’est même pas la peine d’en parler … » Il soupirait pour prendre une petite pause, un sourire vicieux aux lèvres. « Parce que toi, tu causes plus que tu n’agis, et pas elle. »

Sur ce coups-là, c’est l’hôpital qui se fou de la charité. J’aie beau être un mec, moi et la baston, ce n’est pas une histoire d’amour. Sauf lorsqu’il s’agit du Full Métal. Mais la question n’est pas là.

« Pour être sincère, je n’aime pas vraiment me battre » Disais-je d’un ton calme « Quand a cette gamine, si elle a besoin d’aide, elle n’as que le faire comprendre en silence ! »

J’avais haussé le ton. Je savais qu’elle pouvait lire dans les pensées, autant en profiter. Comme ça, on pourra lui mettre les idées en place à deux. En fin de compte, le tuer ne servira à rien. Il pourrait nous être utiles… pour le sacrifice. Une chimères aussi puissante, on ne voie pas ça tous les jour.

« Tu dis que nous sommes des phénomènes de foires, des transmutations humains ratée, mais j’espérais que tu parlais pour toi ! Parce qu’après tout, qu’est-ce qu’une chimère ? Un phénomène de foire, un cobaye, une simple expérience. Maintenant, J’aie cru comprendre que tu cherchais la bagarre. Très bien. »

Je fermais les yeux une secondes et commença à me rapprocher. Un peu. Pour finir par courir, changeant d’angles à chaque occasion. Au moment où je préparais une feinte à sa droite, je dérapais et me retrouva dans son dos. Ma vitesse n’est pas exceptionnelle contrairement à San mais je possède une bonne force. Et lui aussi.

Le fauchait sa jambe blessée en lui attrapant le cou pour l’étrangler. De me main libre, je frappais son poignet pour faire tomber son flingues et du bout du pied, le fit tomber du toit. Il allait riposter et je me doute qu’il ne possède qu’une seule arme.

Je l’étranglais de plus en plus fort.

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